Le clip magnifique de la chanson « FOR 12 » du groupe OTHER LIVES en 2011 est codé.
Ce groupe musical prend l’exemple du film de Stanley Kubrick 2001 l’Odyssée de l’espace (1968) pour montrer une évolution de type quantique – un monolithe mystérieux de forme rectangulaire sur la Lune pour Kubrick et triangulaire dans ce clip sur Mars.
Cette porte noire triangulaire évoque l’existence concrète des pyramides martiennes découvertes sur la mer pétrifiée d’Acidalia dans la région de Cydonia Mensae.

Plusieurs fois il a été rapporté que Mars bénéficiait d’une atmosphère, des 4 saisons et de végétation à l’Équateur. Dans le clip (à 3 min 12), le chanteur enlève son casque en posant le pied sur la planète pour montrer qu’il y a des zones bleues remplies d’oxygène.
Cette porte noire triangulaire évoque l’existence concrète des pyramides martiennes découvertes sur la mer pétrifiée d’Acidalia dans la région de Cydonia Mensae.
Kubrick dans 2001 donnait un message sur les réels artefacts lunaires découverts par la NASA et Other lives survole Mars pour nous faire comprendre qu’une organisation secrète spatiale se trouve sur Mars et a aussi découvert des artefacts de forme pyramidale…

2001 L’odyssée de l’espace : les singes autour du monolithe noir
La première planète à avoir un nom générique est Mars, nom d’un des douze dieux de l’Olympe. Et le Mont Olympe est le plus grand volcan du système solaire et qu’il renferme une puissance électromagnétique considérable.
Sanchionathon avait découvert leur puissance qu’il nommait Agathodemon. Et ce nom se retrouve mystérieusement sur Mars. C’est la puissance des vaisseaux-vrils des anciens dieux. Robert Charroux en décrit le fonctionnement.
Le titre de la chanson d’Other Lives « For 12 » serait-il un hommage à ces douze dieux???

Clip « For 12 » à 3 min 24 : symbole des Illuminati ?
Il y a vraisemblablement un lien entre les membres du Concile des 300 qui se font appeler les Olympiens et qui ont tout pouvoir sur Terre.
En revanche la Lune n’a pas de nom, c’est une lune, comme la Terre est une terre et le Soleil est un soleil.
Alors que toutes les étoiles du Baudrier d’Orion (Alnilam, Alnitak et Mintaka appelées aussi les rois mages sont les projections des 3 pyramides de Gizeh) ont des noms tout comme le soleil Aldébaran par exemple.
J’évoque cette absence de noms dans l’article de Top Secret n° 44 page 58 ( août-septembre 2009 : Le code secret des Envahisseurs, le code Adamski 3ème partie : Le cauchemar a déjà commencé) et j’approfondis ce thème dans mon tome 2 Le Dossier secret des Envahisseurs page 152 à 155 paru en 2017. Et vous comprendrez pourquoi dans mon article paru dans Génération cités d’or #4 paru en mai 2020 concernant un secret des Olympiens bien gardé qui n’a rien à voir avec une matrice artificielle…
Une énergie spécifique émane du DOUBLE SYSTÈME PLANÉTAIRE Terre-Lune. Notre lune est beaucoup trop volumineuse pour n’être qu’un simple satellite.
Arthur C. Clarke parle dans son roman 2001 l’odyssée de l’espace d’une porte des étoiles qui concerne l’évolution cosmique humaine.
Other Lives montre non plus une porte noire parallélépipède mais pyramidale.

Clip « FOR 12 » à 4 min 16
Cet artefact dans le clip nous renvoie à l’équipe du chercheur Richard HOAGLAND (ancien directeur du projet Mars) qui a travaillé des années sur les photos des pyramides et du visage de Cydonia prises par la sonde Viking en 1976.
Il a dit : « les planètes et les étoiles pourraient contenir des « portes interdimensionnelles donnant accès à une énergie multidimensionnelle ».
Il a montré aux représentants des Nations Unies des plans d’appareils que le Dr Bruce E de Palma utilisait pour produire de l’énergie à partir de champs magnétiques rotatifs, allant apparemment en contradiction avec les lois de la physique.
Il serait donc possible, d’après ce que suggère Hoagland d’être propulsé jusqu’à la planète Mars grâce à la projection de super champs magnétiques.
De nombreux visages ont été photographiés sur Mars dont un étudié par Jean Sider qui ressemble à un pharaon.

Visage « n°3 », identifié par l’astronome Thomas van Flandem et l’ancien astronaute Brian O’Leary
Et Guy Tarade nous apprend que lorsque les Arabes s’emparèrent de la cité et de la région où se trouve le Sphinx, « au VIIème siècle de notre ère, ils donnèrent à l’endroit le nom de « El Kahira » qui vient de l’arabe « El Kahir » qui signifie littéralement… Mars » (Soucoupes volantes et Civilisation d’Outre Espace, 1969) « El Kahir » serait l’ultime référence nous projetant vers les palais séculaires des dieux martiens, qui se cacheraient dans des zones occultées de la planète rouge.
Comment se fait-il que le projet du designer Isamu NOGUSHI en 1947 d’un gigantesque visage « Mémorial à l’homme visible de Mars » se retrouve dans les sables de Mars en 1976 dans les mêmes proportions soit 2,5 km? (Cf mon tome 2 Le dossier secret des Envahisseurs où se trouvent toutes les données concernant les mystères de Mars et la guerre secrète de l’énergie libre et mon roman Les Envahisseurs, les pions humains du jeu d’échecs de Mars)
Nikola TESLA avait détecté des émissions d’ondes intelligentes provenant de Mars. « J’ai l »intime conviction qu’il existe des êtres extrêmement intelligents sur Mars », expliqua Tesla à un journaliste en 1923. « Pendant que je menais des expériences dans le Colorado, j’ai obtenu des preuves irréfutables qu’il y a de la vie sur Mars. J’avais construit un récepteur radio hyper sensible, bien au-delà de tout ce qu’on connaissait alors, et j’ai intercepté des signaux que j’ai interprété comme signifiant 1-2-3-4. Je pense que les Martiens utilisaient des chiffres pour communiquer car les chiffres sont universels. »
Même Jordan Maxwell affirme qu’il y a des gens sur Mars.

Clip « FOR 12 » à 1 min 02
À l’équateur de Mars se dresse l’Olympus Mons, le mont Olympe, haut de 22,5 km. Il trône non loin de trois édifices volcaniques à peine moins gigantesques : Arsia Mons, Pavonis Mons et le volcan bouclier Ascraeus Mons, dont les sommets s’élèvent à plus de 20 km d’altitude. Cet ensemble colossal forme le dôme de Tharsis, un renflement de 5600 km de diamètre s’élevant entre 4000 et 8000 mètres, situé dans les quadrangles de Tharsis ayant créé la titanesque craquelure de la croûte martienne Valles Marineris.
Il est étrange de constater que la base du mont Olympe est encerclée par une immense falaise de 6 km de hauteur… comme si une ceinture artificielle dissimulait une base où résideraient les extraterrestres ! Ils seraient en quelque sorte les dieux de l’Olympe ! Ce mont Olympe est le plus haut volcan de tout le système solaire, avec une base de 600 km d’extension ; par projection exacte, les dimensions de la France recouverte en imaginant au-dessus de l’Auvergne un sommet trois fois plus élevé que l’Himalaya…

La configuration des volcans martiens semble artificielle. Sachant que le Mount Olympus est le plus grand volcan du système solaire encerclé d’une muraille de 6 m de haut, on peut se demander si avec les 3 autres monts, ils ne représentent pas un dispositif cosmotellurique dissimulant les entrées secrètes du royaume souterrain des dieux de l’Olympe, les 12, telle que la chanson d’Other Lives semble l’indiquer dont la puissance serait domestiquée à l’intérieur même des cratères, le Vril hyperboréen ou Agathodemon.
En 1971, Paul Fox et Carl Sagan comparent les cartes [martiennes] de Percival Lowell à celles que fournissent les sondes. Ils ne trouvent quasiment aucune correspondance, excepté un canal connu sous le nom d’Agathodémon et la cicatrice du grand canyon Valles Marineris.
Curieux phénomène de synchronicité puisque l’Agathodémon est, selon l’ancien philosophe grec Sanchoniathon, une énergie nommée par les anciens le « serpent mystérieux » servant à propulser les antiques chars des dieux [appelés «vimanas»]. Selon le philosophe, « Il ne s’agit pas du serpent à venin, de la vipère ou de la couleuvre, mais d’une sorte de « serpent lumineux, voguant dans les nues, vrombissant et rapide comme l’éclair […] Il appartient à la matière ignée, en ce qu’il y a de lui une vitesse que rien ne peut surpasser à cause de son souffle. Philon n’a pas compris le sens que Sanchoniathon donnait au « serpent », au souffle (vrombissement) puissant qui le propulsait dans les airs « à une vitesse que rien ne peut surpasser à cause de son souffle ». Il donne la célérité qu’il veut aux hélices qu’il décrit dans sa marche […]
Il y a donc une connexion évidente entre le canal martien appelé Agathodémon et l’étrange renflement de Tharsis décrit par les confrères du professeur Opik comme vraisemblablement artificiel, situé près de la colossale faille équatoriale de Valles Marineris générée par le mont Olympe…
L’évocation de l’existence de cités souterraines sur Mars en 1949 par l’état-major des forces aériennes se référant aux travaux des experts scientifiques du programme SIGN, a conduit à une découverte qui fut rendue publique en 1962 par le docteur Erust J. Opik. Ce qu’avaient découvert après des mois d’observation, les astronomes Trumpler, Muller et sept éminents confrères était « un énorme renflement d’apparence fort peu naturel à l’équateur de Mars » (Tharsis)
Opik avait déclaré : « On peut penser à bon droit […] que ce renflement équatorial de Mars est creux, qu’il s’agit d’une sorte de toit construit par les Martiens qui ont vécu ou peut-être vivent encore cachés dessous, bénéficiant d’un climat et d’une atmosphère conditionnée. (Paris Match, n° 1382, 23 novembre 1975)
Le Dr John E. Brandenburg dans son ouvrage Death on Mars : the discovery of a planetery nuclear massacre (2015), évoque l’existence de créatures martiennes qui auraient bâti les pyramides de Mars ainsi que le visage-sphinx. Ils auraient généré une guerre nucléaire.
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Pourquoi Buzz Aldrin a-t-il insisté pour nous avertir qu’il existait sur Phobos un énorme obélisque?
Lors d’un talk-show en 2009, l’astronaute fait une révélation cryptée à laquelle aucun journaliste n’a prêté attention. « Nous pourrions aller de manière audacieuse là où l’homme n’est jamais allé auparavant. Voyager au gré des comètes ou visiter la lune de Mars, Phobos. Il y a là-bas un monolithe, une structure très inhabituelle sur ce petit objet en forme de patate qui tourne autour de Mars toutes les sept heures. Quand les gens le découvriront, ils vont dire : « Qui a pu amener ça ici ? » Eh bien… C’est l’univers qui l’a mis là, ou si vous préférez, Dieu l’a mis là… » Ses paroles, « aller de manière audacieuse là où l’homme n’est jamais allé », sont celles du générique de la série classique Star Trek : « To boldly go where no man has gone before ! » qui se traduisent par « Aller hardiment là où l’homme n’est jamais allé auparavant ». Il dévoile qu’une organisation secrète de type Star Trek est capable d’aller sur Mars.
Certains physiciens (‘‘dont le célèbre évolutionniste, Teilhard de Chardin’’) pensent que l’univers est perceptible comme une ‘‘grande pensée’’ plutôt qu’une ‘‘grande machine’’.
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En conclusion, est-ce que le groupe Other lives aurait une connexion avec une race d’Illuminati installés sur Mars avec les douze dieux de l’Olympe? Il semblerait qu’en 2011 ils ont touché de près une vérité métahumaine concernant la puissance cosmotellurique des 12 dieux olympiens. L’image la plus évocatrice serait l’artefact pyramidal dans l’œil…
Ceci nous renvoie aux paroles du générique de Star Trek citées par Buzz Aldrin qui a évoqué la présence du mystérieux monolithe installé sur Phobos par une race inconnue. L’image de l’œil sur le coffret métal Star Trek Discovery saison 1 montre cet œil dans le logo triangulaire de Starfleet. La fiction Star Trek dissimulerait l’existence concrète d’une confédération interstellaire olympienne. La forme pyramidale visible dans l’œil du chanteur d’Other lives montre que tout est réel. La découverte de mystérieux sillons sur Phobos que Mariner 9 et la série des Vikings n’avaient pas photographiés. Et Phobos 2 a été éjectée de son porbite photographiant l’ombre portée d’un immense vaisseau inconnu sur le sol de la planète « rouge ».
Le journaliste Aurélien Jouve apporte une indication plus précise : « Le 12 juillet 1988, l’URSS fait décoller le vaisseau sans équipage, Phobos 2. Il a failli provoquer le premier incident de la ‘‘guerre des étoiles’’ connu de l’humanité, une guerre contre un peuple d’un autre monde. » Le scientifique russe Shklovsky a publié, en 1959, le résultat de ses recherches sur Phobos : « Nous devons admettre que Phobos est un satellite artificiel construit en duralium. Vraisemblablement, Phobos est vide intérieurement, étant donné sa vitesse de rotation. Il se meut, dans un mouvement de rotation, à une vitesse quatre fois supérieure à celle de la planète elle-même. Cette théorie est absolument impossible en astrophysique pour un satellite naturel. Aucun satellite ne peut se mouvoir à une vitesse supérieure à celle de la planète autour de laquelle il tourne, puisqu’en principe ils proviennent tous deux de la même masse et ont la même vitesse. De plus, Phobos ralentit sa vitesse lorsqu’il s’éloigne de Mars. C’est précisément là le phénomène observé sur les satellites artificiels mis en orbite autour de la Terre par l’URSS ou les États-Unis. »
Nous comprenons pourquoi Mars porte le nom du dieu de la guerre, celui que justement les Romains adulaient… Une guerre secrète aurait donc lien depuis Mars jusqu’à la Terre pour que nous ne prenions pas conscience de notre identité stellaire. Le Concile des 300 serait là pour y veiller.
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